chris 74
Posté : lun. 23 janv. 2017 21:47
Je suis inscrit depuis pas mal de temps sur ce forum mais ai oublié de remplir ma présentation.
J'ai un acouphène fort (niveau 8-9) et une hyperacousie forte (+ phonophobie) à l'oreille droite, La gauche est à peine touchée, depuis mai 2016. Mon audition est normale. J'ai eu un trauma sonore (concert de rock) en 2000 qui avait duré 3 mois puis s'était ensuite abaissé à un niveau insignifiant (comme l'hyperacousie). Je vivais cependant avec des précautions (évitement des concerts de rock par exemple). Le retour brutal et violent en 2016 n'a pas de causes certaines mais je soupçonne fortement l'utilisation irrégulière, pour dormir à cause de crises d'angoisse nocturnes très fortes causées par un autre problème de santé (vue) d'un anxiolityque pris depuis 1 an auparavant. Les pensées suicidaires engendrées par l'acouphène m'ont fait intégré 2 fois (août et 2 semaines en novembre) des hôpitaux psy où les psychiatres m'ont bourré de médicaments, ce qui a finalement accentué le problème. Je me suis sevré depuis de neuroleptique, somnifère, antidépresseur et ai diminué de 60% les doses d'anxiol. prescrites. Je ne rêve pas de silence mais d'un niveau d'acouphène et d'hyperacousie "gérable" qui me permette de revivre, même avec difficulté, car actuellement, c'est un cauchemar quotidien. Je ne travaille plus depuis septembre 2016.
J'ai un acouphène fort (niveau 8-9) et une hyperacousie forte (+ phonophobie) à l'oreille droite, La gauche est à peine touchée, depuis mai 2016. Mon audition est normale. J'ai eu un trauma sonore (concert de rock) en 2000 qui avait duré 3 mois puis s'était ensuite abaissé à un niveau insignifiant (comme l'hyperacousie). Je vivais cependant avec des précautions (évitement des concerts de rock par exemple). Le retour brutal et violent en 2016 n'a pas de causes certaines mais je soupçonne fortement l'utilisation irrégulière, pour dormir à cause de crises d'angoisse nocturnes très fortes causées par un autre problème de santé (vue) d'un anxiolityque pris depuis 1 an auparavant. Les pensées suicidaires engendrées par l'acouphène m'ont fait intégré 2 fois (août et 2 semaines en novembre) des hôpitaux psy où les psychiatres m'ont bourré de médicaments, ce qui a finalement accentué le problème. Je me suis sevré depuis de neuroleptique, somnifère, antidépresseur et ai diminué de 60% les doses d'anxiol. prescrites. Je ne rêve pas de silence mais d'un niveau d'acouphène et d'hyperacousie "gérable" qui me permette de revivre, même avec difficulté, car actuellement, c'est un cauchemar quotidien. Je ne travaille plus depuis septembre 2016.